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 Schizophrénie

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Aline
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MessageSujet: Schizophrénie   Schizophrénie Icon_minitimeMer 22 Sep 2010 - 14:57

Le terme de schizophrénie regroupe de manière générique un ensemble d'affections psycho-cérébrales présentant un noyau commun, mais dites différentes quant à leur présentation et leur évolution. On utilise le pluriel pour désigner ces schizophrénies.

« Schizophrénie » provient de « schizo » du grec « σχίζειν » (schizein) signifiant fractionnement et « φρήν » (phrèn) désignant l’esprit. C'est donc une « coupure de l'esprit », pas au sens d'une 'double personnalité' comme on l'entend parfois, mais au sens d'une perte de contact avec la réalité ou, d'un point de vue psychanalytique, d'un conflit entre le Moi et la réalité.

C'est une pathologie psychiatrique généralement chronique, qui survient plutôt à l'adolescence ou au début de l'âge adulte.

La schizophrénie est une psychose, qui se manifeste par des signes de dissociation mentale, de discordance affective et d'activité délirante, ce qui a pour conséquences une altération de la perception de soi-même, des troubles cognitifs, et des dysfonctionnements sociaux et comportementaux allant jusqu'au repli autistique. Le terme est par ailleurs fréquemment utilisé au sens figuré, notamment dans la presse, pour évoquer des attitudes ou des propos simplement contradictoires.

Elle atteint généralement 0,5 % à 1 % de la population. Son diagnostic se fonde uniquement sur les déclarations du patient et son observation, puisqu'il n'existe aucun test de détection en laboratoire. Les études indiquent que des facteurs génétiques, environnementaux, neurobiologiques, psychologiques et sociaux jouent un rôle dans l'apparition de la maladie (des drogues et médicaments peuvent également causer l'apparition ou l'aggravation de symptômes), sans que l'on ne parvienne à isoler une cause organique.

Le traitement se fait par la prise d'antipsychotiques, mais peut aussi consister en une psychothérapie, une réinsertion sociale ou professionnelle, voire une hospitalisation forcée dans les cas les plus graves.

Les individus schizophrènes présentent davantage de risques d'être atteints d'éléments de comorbidité tels que les troubles anxieux et dépressifs. Ils sont également davantage touchés par des troubles addictifs, ainsi que des problèmes sociaux comme le chômage de longue durée, le sans-abrisme et la pauvreté. On estime que l'espérance de vie des personnes touchées est inférieure de 10 à 12 ans à l'espérance de vie moyenne, à cause du risque plus élevé de problèmes de santé et d'un plus fort taux de suicide (environ 5 %).

La littérature des civilisations grecque et romaine y fait allusion sans indiquer comment ils étaient traités.

Historiquement, le psychiatre Emil Kraepelin est le premier à faire la distinction entre la démence précoce décrite cinquante ans avant lui par Bénédict Augustin Morel, et les autres formes de folie. Elle est ensuite renommée schizophrénie par le psychiatre Eugen Bleuler lorsqu'il devint évident que la désignation de Kraepelin n'est pas une description adéquate de la maladie.

C'est en 1898 qu'Emil Kraepelin, parlant de démence précoce, trouve trois variations :

l'hébéphrénie (hébé = adolescence, phrên = esprit) : qualifie une intense désagrégation de la personnalité ;
la catatonie : la forme la plus grave ;
la forme paranoïde : la forme la moins grave, s'appuyant sur des hallucinations.
En 1911, Eugen Bleuler utilise le terme de schizophrénie, et met en avant cinq symptômes :

le trouble de l'association des idées ;
le trouble de l'affectivité ;
la perte de contact avec la réalité ;
l'autisme (dans le sens du repli autistique) ;
le syndrome dissociatif.
En 1919 le psychanalyste Victor Tausk est le premier à élaborer une théorique psychanalytique sur la schizophrénie. En 1950 la psychanalyste suisse Marguerite Sechehaye est l'une des premières à adapter la technique freudienne pour traiter une patiente schizophrène, Renée.

En 1952, le Largactil est acrédité comme neuroleptique ce qui marquera un tournant dans l'histoire du traitement de la schizophrénie notamment parce qu'il en facilitera l'abord psychothérapeutique. En 1958 l'halopéridol est inventé en Belgique, il se montre plus efficace et surtout moins sédatif que le Largactil. Notons que l'introduction des neuroleptiques s'est étalée sur plusieurs années - voire décénnies - car elle suscitait de nombreuses et farouches résistances chez certains psychiatres, entre autres Henri Baruk et Henri Ey en France .

En 1956, Gregory Bateson, Donald D. Jackson, Jay Haley et John Weakland publient leur article commun Vers une théorie de la schizophrénie qui introduit le concept de « double contrainte » ou « injonction paradoxale » (double bind). Le rôle du contexte dans l'apparition de la schizophrénie ne vient pas s'opposer aux autres causes possibles, et il est précisé un peu plus tard en ces termes :

« Là où prédomine la double contrainte comme modèle de communication, si l'attention diagnostique se concentre sur l'individu ouvertement le plus malade, on constate que le comportement de cet individu répond aux critères de la schizophrénie. C'est en ce sens seulement qu'on peut accorder à la double contrainte une valeur étiologique. »

Les schizophrénies touchent 1 % de la population mondiale, sans variations notables d'un pays, d'une culture ou d'une époque à l'autre. Dr. Lin Mei, Medical College of Georgia : « La schizophrénie est un trouble de la perception de la réalité qui touche environ 1 % de la population mondiale, dans tous les pays et toutes les cultures, elle s’accompagne de désordres cognitifs, et de dysfonctionnements sociaux et comportementaux plus ou moins importants. En France, c’est le trouble psychiatrique le plus répandu. Pourtant par bien des aspects la schizophrénie reste encore mystérieuse et son traitement imparfait. »

L’hérédité (facteur de milieu psycho-affectif, npc génétique) est un facteur qui accroît le risque. Ainsi, l’enfant naissant voit son risque augmenter de :

5 % s’il a un parent du deuxième degré (oncle, tante, cousin, cousine) qui souffre de schizophrénie ;
10 % s’il a un parent du premier degré (père, mère, frère, sœur) ;
10 % s’il a un jumeau différent qui souffre de schizophrénie ;
40 % s’il est enfant de deux parents schizophrènes ;
50 % s’il a un jumeau identique qui souffre de schizophrénie


Certaines études laissaient penser que le risque augmente dans les grandes villes. Plus de 200 études avaient aussi déjà suggéré que le risque de schizophrénie augmentait de 5 à 8 % chez les enfants nés en hiver ou au printemps. Une explication pourrait venir d'une étude qui conclut que le risque de schizophrénie augmente chez les adultes dont la mère a été infectée par un virus grippal lors de sa grossesse (idem pour le risque de trouble obsessionnel-compulsif, d'autisme et d'autres maladies du cerveau).

En 2004, Alan S. Brown (psychiatre de l'université Columbia) avait étudié des sangs congelés, échantillonnés de 1959 à 1966 chez 189 femmes enceintes, dont 64 ont ensuite donné naissance à des enfants devenus schizophrènes. Ces femmes ont donné leur sang plusieurs fois durant leur grossesse, ce qui a permis de comparer rétrospectivement si et quand elles avaient été exposées à la grippe. L'étude a montré que quand elles avaient contracté la grippe dans la première partie médiane de la grossesse, le risque de schizophrénie a été multiplié par 3, et par 7 si l'exposition s'était faite dans les 3 premiers mois. Jusqu'à un cinquième de tous les cas de schizophrénie pourraient avoir pour cause une infection prénatale.

Selon Christopher L. Coe, psychologue à l'université de Wisconsin-Madison, plusieurs études suggèrent que ce n'est pas le virus lui-même qui affecte le développement cérébral du fœtus, mais plutôt la réponse immunitaire au virus. Les cytokines émises par le système immunitaire pourraient être en cause car elles jouent aussi un rôle dans le développement du cerveau, au moins in vitro (sur des cultures cellulaires) où, à des taux élevés, comme lors d'une infection grippale, elles empêchent le développement normal des neurones. En temps normal, le placenta ne filtre ni les hormones ni les nutriments qui passent de la mère au fœtus. Quand la mère subit une infection grippale, le placenta se comporterait différemment, pouvant parfois inviter le fœtus à produire ses propres cytokines même s'il n'est pas en contact avec le virus. Des études ont montré que l'interleukine 8 a notablement augmenté dans le sang de mères ayant donné naissance à des enfants schizophrènes.


A) Symptômes caractéristiques :
Ces symptômes peuvent être présents de façon isolée ou associée, et une évolution de plus de six mois de la symptomatologie permet de proposer un diagnostic qui nécessite par ailleurs d'éliminer une organicité.

Les troubles cognitifs sont souvent les premiers symptômes qui apparaissent chez le schizophrène. On les appelle aussi symptômes annonciateurs. Ce sont ces troubles qui entraînent les difficultés de socialisation chez une personne atteinte.

Troubles d’attention, de concentration, manque de tolérance à l’effort : le schizophrène prend du temps à répondre aux questions, à réagir aux situations demandant une réponse rapide ; il n’est plus capable de suivre ses cours, de se concentrer sur un film.
Troubles de mémoire : le schizophrène oublie de faire des tâches de la vie quotidienne (faire ses devoirs, aller à ses rendez-vous), a de la difficulté à raconter ce qu’il lit, à se rappeler ce que les autres disent ou à suivre une conversation. Sa mémoire autobiographique est affectée : il oublie plusieurs moments de son histoire personnelle. Sa mémoire de travail fonctionne plus difficilement : il est incapable d'effectuer plusieurs tâches en même temps en se souvenant où il en est dans chacune d’elles.
Troubles des fonctions exécutives : les fonctions exécutives sont essentielles à tout comportement dirigé, autonome et adapté, comme préparer un repas. Le schizophrène a de la difficulté à conceptualiser les gestes nécessaires à la réalisation d’une tâche, à anticiper les conséquences ; il manque de planification, d’organisation des séquences d’actions pour réaliser un but et manque également de flexibilité, de discernement, de vérification, d’autocritique.
Alors qu’ils se présentent en premier, ces symptômes annonciateurs persisteront plus longtemps que les symptômes aigus.

Les symptômes aigus (positifs) se manifestent habituellement au début de l’âge adulte, entre 17 et 23 ans chez les hommes et entre 21 et 27 ans chez les femmes. Ils sont dits « positifs » parce qu’il s’agit de manifestations qui s’ajoutent aux fonctions mentales normales. C’est leur présence qui est anormale.

Hallucinations : ce sont des perturbations des perceptions le plus souvent auditives (le schizophrène entend une voix qui fait des commentaires ou profère des insultes, des menaces), mais parfois aussi visuelles, olfactives ou tactiles.
Délires : ce sont des erreurs de jugement logique. Le schizophrène s’imagine que la personne qui le regarde dans l’autobus ou qui le croise dans la rue est là pour l’espionner ; il se sent surveillé, persécuté, en danger ou croit que la télévision lui envoie des messages ; il est convaincu d’avoir le pouvoir d’influencer les évènements dans le monde, qu’il est contrôlé par une force ou qu’on peut lire dans ses pensées, etc.
Langage incohérent : le schizophrène peut dire des phrases sans suite ou incompréhensibles et inventer des mots.
Agissements bizarres : par exemple fermer les stores de la maison par crainte d’être espionné ; collectionner des bouteilles d’eau vides etc.
Les symptômes déficitaires (négatifs) s’observent par un manque ou une absence de comportements spontanés, attendus.

Isolement, retrait social : le schizophrène perd plaisir à ses activités de loisirs. Il délaisse ses amis, se retire dans sa chambre, devient même irritable si on tente de l’approcher. Il se coupe peu à peu de la réalité.
Alogie ou difficulté de conversation : le schizophrène ne trouve plus ses mots, donne des réponses brèves et évasives et ne réussit plus à communiquer ses idées ou ses émotions.
Apathie, perte d’énergie : le schizophrène passe ses journées devant la télé sans vraiment être capable de suivre ce qui s’y passe, il néglige son hygiène ou son apparence personnelle et manque de persistance ou d’intérêt pour commencer ou achever des tâches routinières (études, travail, ménage). Cette attitude donne une impression d’insouciance, de négligence, de manque de volonté et de paresse.
Diminution de l’expression d’émotions : le visage du schizophrène devient inexpressif, ses inflexions vocales diminuent (il parle toujours sur le même ton), ses mouvements sont moins spontanés, ses gestes, moins démonstratifs.
B) Dysfonctions sociales ou d'occupation professionnelle :
Si pendant une durée significative depuis le commencement des troubles, l’un des domaines liés aux relations sociales comme l’activité professionnelle, les relations interpersonnelles ou l’hygiène, sont nettement réduites par rapport à la situation antérieure.
C) Durée :
Les signes continus du trouble persistent pendant au moins six mois : cette période doit inclure au moins un mois de symptômes (ou moins en cas de traitement réussi) correspondant aux critères de type A.
Lorsque les symptomes délirants sont apparus massivement et de manière brutale, et qu'ils durent en moyenne moins d'un mois, les anglo-saxons parlent de schizophrénie aigue quand les francophones parlent de bouffée délirante.


Deux gènes qui semblent associés au risque de schizophrénie, sont également impliqués dans la production de cytokines.

Une expérience a consisté à injecter à des souris enceintes, non pas un virus grippal mais une molécule à base d'ARN viral, non dangereuse, mais reconnue comme étrangère par l'organisme, pour obtenir une réponse immunitaire sans infection. Les souris nées de ces mères se sont comportées comme la progéniture de mères infectées par une grippe (anormalement et beaucoup plus craintives que les souris normales, moins enclines à explorer et à interagir avec d'autres souris), suggérant que c'est bien la réponse immunitaire et non le virus (ni un gène de prédisposition activé par l'infection virale) qui affecterait la formation du cerveau (l'autopsie a montré que les neurones de ces souris étaient anormalement distribués). Ceci laisse penser que certaines schizophrénies pourraient avoir des causes environnementales (comme certaines maladies auto-immunes) et des origines pré-natales à des infections de la mère durant la grossesse, mais peut aussi provenir de troubles digestifs.

Paradoxalement, ces résultats posent aussi la question de la recommandation des CDC américains de vacciner les femmes enceintes (car la vaccination provoque une réaction immunitaire, qui pourrait parfois aussi durablement agir sur le cerveau du fœtus) et les précautions à prendre en cas de pandémie grippale.

Une infection dans la prime enfance voire chez l'adulte pourrait parfois aussi être cause de maladie mentale, non directement mais via une réaction auto-immunitaire, mais ceci reste à confirmer.

Ina Weiner étudie si des antipsychotiques pourraient prévenir des schizophrénies d'origine environnementale de ce type. Des souris choisies dans un lot exposé in utero à un toxique chimique qui a conduit beaucoup d'entre elles à développer des symptômes et des anomalies cérébrales évoquant à la schizophrénie chez l'Homme (avec de premiers signes de déclin cognitif à la puberté, avant développement de symptômes proches d'une schizophrénie) ont été traitées par des antipsychotiques dès les premiers symptômes. Ce traitement les a protégées des symptômes de type schizophréniques et de modifications cérébrales associées (diminution du poids de l'hippocampe, qui accompagnent la schizophrénie).

Il semble exister une cause génétique commune avec les troubles bipolaires, ce qui fait poser la question par certains de la réalité de la distinction entre les deux syndromes.

Ces maladies, qui apparaissent le plus souvent chez des sujets âgés de 15 à 35 ans, sont un problème majeur de santé publique. En France, 500 000 personnes sont concernées et 300 000 sont prises en charge.

Traitement médicamenteux:
Les neuroleptiques typiques et atypiques, dénommés récemment pour des raisons essentiellement commerciales antipsychotiques sont les principaux médicaments utilisés dans le traitement des schizophrénies ou des troubles voisins. Ils ne guérissent pas la maladie, ils contribuent à la soigner, et en atténuant quelques symptômes. Ils présentent des effets secondaires dont certains sont corrigés par des traitements dits « correcteurs ». On peut les associer à d'autres psychotropes (anxiolytiques, hypnotiques, antidépresseurs). Les traitements médicamenteux ne sont qu'un aspect généralement indispensable mais jamais suffisant dans des soins complexes. Le traitement est un processus long et difficile.

Une deuxième génération d'antipsychotiques a été développée, il s'agit d'antagonistes à la dopamine et à la sérotonine (S. D. A.) ayant une action plus ciblée (moins d'effets secondaires). Au niveau méso-limbique, ils bloquent les récepteurs D2 (à dopamine, il y a donc une diminution des syndromes positifs. Au niveau méso-cortical, ils bloquent la production de sérotonine, ce qui déclenche la production de dopamine (déficiente à ce niveau), les symptômes négatifs disparaissent. Cette deuxième génération de neuroleptiques existe sous forme de comprimés ou d'injections à effectuer à des intervalles précis.

Le soin par injection -intramusculaire- assure une (possiblement) meilleure stabilité psychique au patient que la (contrainte d'une) prise quotidienne de comprimés : en effet le produit est libéré progressivement sans que le patient n'ai (plus) à s'en soucier, ...et le risque d'arrêt total du soin médicamenteux - même pour une période supposée temporaire - disparait. L'arrêt du traitement est souvent peu compatible avec le suivi, au réel danger de la venue, au bout du compte, d'une crise de folie.

Existe aussi toutefois pour celui qui ne désire pas ce(s) type(s) de prise-en-charge, la possibilité de poursuivre le soin médicamenteux avec usage du produit (moins dosé) en gouttes, ... ce qui permet au soigné comme au soignant de déplacer (le risque qui réside dans) la réfraction - refus de traitement - ...au bénéfice d'un pacte conjoint de soin, pour mettre en place une réelle qualité de vie personnelle et sociale.

Il est primordial pour une efficience du soin, que le patient (fasse un choix de) désire(r) 'sa' prise-en-charge... et ce, aussi, dans l'acceptation du (type de) médication et/ou mode d'administration ; le suivi du trouble schizophrénique associé à une psychose se fait sur la durée, et suppose d'éviter la venue de réfraction... Pour toutes ces raisons, en aucun cas l'injection ne peut être imposée en 'ambulatoire', sachant qu'heureusement ce négationnisme possible de la prise-en-charge dans son -apparente- complexité, est absolument contraire aux lois d'éthique.


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